Les vœux de Mr Marius Mollier

Les vœux de Mr Marius Mollier

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Mon petit rucher nurserie. Marius

Mon petit rucher nurserie.

Merci à l’Abeille du Salève pour la formation et son assistance.

Meilleurs vœux à toutes et à tous pour cette prochaine

Année 2013.

 
Merci à toi Marius pour cette magnifique photo et tous nos vœux.
l’Abeille du Salève

D.L. du Dimanche 23 décembre 2012

REIGNIER-ESERY

30 % d’effectifs supplémentaires à l’association de l’Abeille du SaIève

 

L’association de l’Abeille du Salève, présidée par André Favre entouré de son équipe et de nombreux membres, a tenu son assemblée à la MJC jeudi soir. Elle compte à ce jour 154 adhé­rents et de nouveaux vont s’inscrire cette année.

Le président rappelait que le monde des abeilles fasci­ne de plus en plus de jeunes apiculteurs.

Les membres de l'Abeille en pleine activité. De jeunes apiculteursparticipent également à différents ateliers.

Les membres de l’Abeille en pleine activité. De jeunes apiculteurs
participent également à différents ateliers.

Ces trois der­nières années la croissance des effectifs est de 30 %.

Et plusieurs apiculteurs de l’abeille du Salève ont obte­nu des médailles cette an­née au concours de miel de Haute-Savoie.

L’association a présenté aussi ses deux ruchers (Moussy et Valeury) au concours des miels et le parc de Valeury a obtenu une médaille d’argent dans la caté­gorie « miel de plaine clair ».

Les commandes d’achats groupés (sirop, cire, hydro­mel, candi …) remportant tou­jours un franc succès seront reconduites.

L’association participe aussi activement aux animations de la com­mune, et à celles des alen­tours.

André Favre a fait remar­quer le bon travail des res­ponsables qui œuvrent à l’entretien et au bon fonc­tionnement des ruchers éco­les et la participation des jeunes apiculteurs aux diffé­rents ateliers.

Les bons ré­sultats permettent d’avoir des miels de bonne qualité et des abeilles bien proté­gées et soignées.

Sur le site de Moussy, l’installation d’un panneau photovoltaïque destiné à alimenter une balance électro­nique que les responsables pourront interroger à distan­ce est en projet.

Autour de la ruche pour le adeptes.

Autour de la ruche pour le adeptes.

Malgré des ennemis qui rodent autour des colonies, la pollution ou les maladies, les apiculteurs ne baissent pas les bras et continuent de sensibiliser les concitoyens aux problèmes de sauvegar­de des abeilles (pesticides, prédateurs comme  le frelon asiatique, le varroa etc).

Car nos petites butineuses ont un rôle indispensable à jouer dans la biodiversité, elles participent à 80 % de la pollinisation des espèces vé­gétales et contribuent donc à la survie, à l’évolution et à la reproduction des plantes.

 Les projets 2013 sont nombreux

A noter, les cours  concernant les débutants : les cours théoriques et magis­traux seront animés par Pier­re Tomas-Bouil lors des réunions habituelles du der­nier jeudi des 3 premiers mois de l’année.

Les mois suivants, le prési­dent prendra la relève.

Le président de l'association l'Abeille, André Favre, a rappelé l'excellent travail des responsables pour entretenir les ruches.

Le président de l’association l’Abeille, André Favre, a rappelé l’excellent travail des responsables pour entretenir les ruches.

Ensuite, les cours prati­ques seront en alternance avec d’autres éducateurs, pour que les élèves qui sui­vent ces formations puissent rapidement apprendre à s’oc­cuper dans les règles de l’art des abeilles et prendre en main une ruchette et sa colo­nie en travaillant en binôme.

Les cours de perfectionne­ment pour apiculteurs initiés seront également mis en pla­ce, ainsi que les cours d’éle­vages de reines.

Il y a encore une date à retenir : APITROC, la traditionnelle foire au matériel apicole qui se tiendra samedi 23 mars à Rei­gnier, sous le chapiteau ins­tallé place de l’église de 8 heures à midi.

M.-T. ROCH

 

POUR EN SAVOIR PLUS Site internet mis en place au 2e semestre :

 www.abeille­dusaleve.org.

Mail: président@abeille-du­saleve.org et secrétaire@abeille­du-saleve.org


Pesticides : les raisons d’une addiction française

Article paru dans l’édition du 28.10.12 du Monde

Les coopératives dont dépendent les agriculteurs pour écouler leurs récoltes portent une part de responsabilité

Au troisième rang mondial derrière les Etats-Unis et le Japon, la France est une championne de la consommation de produits phytosanitaires en tous genres, herbicides en tête. Avec les Pays-Bas et la Belgique, elle forme le trio des pays européens les plus gourmands en pesticides rapporté à l’hectare cultivé.

L’importance des terres arables n’explique pas tout. Il existe en France une forme de reconnaissance envers ces substances qui ont soutenu la modernisation radicale de l’agriculture à partir des années 1950. Appauvrissement des sols, phénomènes de résistances des « ravageurs » et surtout dégradation inquiétante de la qualité de l’eau : le revers de la médaille se révèle aujourd’hui. Quant aux répercussions sur la santé, les adeptes de l’agriculture intensive – qui achètent 93 % des produits phytosanitaires du marché national – sont les premiers à en pâtir.

Lancé en 2008 à l’issue du Grenelle de l’environnement, le plan gouvernemental Ecophyto s’est fixé pour ambition de réduire de moitié l’usage des pesticides d’ici à 2 018. Mais les ventes ont continué de grimper de 2,6 % entre 2008 et 2011… Seules les substances les plus dangereuses ont fortement diminué… parce que l’Union européenne (UE) a imposé le retrait du marché de 53 d’entre elles. Le bilan est si décourageant et l’objectif jugé si inatteignable que le ministre de l’agriculture, Stéphane Le Foll, a un temps hésité avant de le reprendre à son compte.

Qu’est ce qui coince ? La réponse est en partie inscrite dans le rapport de la mission parlementaire d’information sur les pesticides conduite par la sénatrice Nicole Bonnefoy (PS) : « L’analyse fine du contenu réel du plan Ecophyto 2018 montre que sa réussite dépend largement de la bonne volonté des agriculteurs, des fabricants et des industriels. Peu d’outils obligatoires ou coercitifs ont été mis en place. » Pour ne prendre qu’un exemple, la mobilisation des pouvoirs publics n’a même pas mis fin aux épandages aériens de pesticides, officiellement interdits par la loi, mais qui continuent de bénéficier de multiples dérogations.

Au sein d’une agriculture française très structurée, convaincre chaque agriculteur de lever le pied sur le pulvérisateur de pesticides n’est peut-être pas le plus grand défi. Car que pèse le discours vertueux face aux pressions de la coopérative dont il dépend pour écouler sa production ? Peut-il risquer de se retrouver avec ses pommes ou son blé sur les bras ?

La coopérative impose ses propres critères, exige des rendements, tout en fournissant les conseils et parfois les pesticides qui permettent d’y parvenir. Elle rédige des cahiers des charges très précis pour répondre aux exigences de la grande distribution, voire de l’usine agroalimentaire dans laquelle elle a elle-même souvent des intérêts. Le terme de « coopérative » désigne en effet des groupements de dimension internationale aux intérêts diversifiés. Le chiffre d’affaires de In Vivo par exemple, spécialisée dans les céréales, dépasse 6 milliards d’euros, Sodiaal (lait) 4 milliards et, Triskalia, la polyvalente bretonne, 2 milliards.

Aucun règlement n’interdit « qu’une même personne morale prescrive ou au moins recommande des traitements phytosanitaires et vende les produits permettant de les réaliser », soulignent les parlementaires dans leur rapport. « Dans l’écrasante majorité des départements, s’inquiètent-ils, les coopératives agricoles jouent les deux rôles dont la synergie apparaît malsaine »

Ils dénoncent en outre le « problème lancinant des conflits d’intérêts » au sein des groupes d’experts qui conseillent les pouvoirs publics sur la toxicité des produits. Quant aux chambres d’agriculture, qui comptent nombre de dirigeants de grandes coopératives à leur tête, elles continuent de jouer un rôle central en impulsant ou non des changements de pratiques chez leurs adhérents. Le plan Ecophyto repose sur elles pour la constitution d’un réseau d’exploitations de référence, les fermes Dephy, qui souhaitent jouer le jeu de produire autant en réduisant les intrants.

C’est par elles encore que passe la formation des agriculteurs, qui sera couronnée par un certificat, le Certiphyto, obligatoire à partir du 1er octobre 2014. Les distributeurs d’herbicides, fongicides et autres insecticides devront eux aussi obtenir un agrément.

Le ministère de l’environnement ne s’occupe que des 7,8 % d’utilisateurs en dehors du monde agricole – jardiniers, gestionnaires de golf, Réseau ferré de France… -, et a logiquement laissé la main à celui de l’agriculture, qui mise surtout sur la pédagogie. L’administration de Stéphane le Foll vient notamment de lancer une plate-forme contributive sur Internet, « Produisons autrement », qui regorge de témoignages convaincants d’exploitants et d’agronomes vantant les mérites de la diversification des variétés, de l’espacement des plantations, des substances nettement moins nocives pour l’environnement…

Tout confondu, les crédits engagés pour Ecophyto s’élèvent à environ 140 millions d’euros par an, en bonne partie financés par la redevance sur les pollutions diffuses collectées par les agences de l’eau. « Le problème, ce n’est pas l’argent mais la volonté, observe François Veillerette de Générations futures. En Picardie par exemple, des exploitations qui ont réduit de moitié leur usage des pesticides n’ont pas pu prendre place dans le réseau Dephy faute de convaincre les responsables agricoles locaux. On perd du temps. » « On peut multiplier les changements à la marge, mais atteindre les 50 % en moins signifierait quitter le modèle de l’agriculture intensive et sortir la bio de sa niche », conclut Isabelle Laudon de WWF.

En 2011, le nombre d’exploitations engagées dans le système biologique a progressé de 12,3 %, ce qui ne les fait cependant occuper que 3,5 % de la surface agricole. Or le Grenelle de l’environnement a fixé l’objectif de 6 % en 2012 et de 20 % en 2020. En Europe, 17,2 % des terres autrichiennes sont déjà converties au bio, 8,6 % des italiennes et 5,9 % des allemandes.

Martine Valo

 

 

 


LE CALENDRIER DES « MAYA »

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D’après le calendrier des « MAYA »,
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la fin du monde était prévue le 21 Décembre.
Mais elles se sont trompées, à Arthaz

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c’est le 22 que l’on m’a fait lâcher la « grappe » !!!!

Ceci est de l’humour !!! Bravo à ceux qui ont mis en route le traitement et à ceux qui les ont soutenus.

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JOYEUX NOËL ET BONNES FÊTES DE FIN D’ANNÉE

BEEZZZ

 


INFOS PRATIQUES : Tout ce que vous avez rêvé de savoir sur le traitement à l’acide oxalique

INFOS PRATIQUES : Tout ce que vous avez rêvé de savoir sur le traitement à l’acide oxalique sans jamais avoir osé le demander…

– l Les recommandations de Pierre TOMAS BOUIL;
– 2 La page des vétos,Les dossiers d’Apivet.eu Emploi de l’acide oxalique
– 3 Pour résumer,
– 4 Deux vidéos pour vous rappeler les gestes essentiels.

Allez vite voir votre page TRAVAUX MOIS/MOIS rubrique : Décembre

En avant première : Cours Théorique du Jeudi 31 Janvier 2013 by Pierre TOMAS BOUIL. pour le détail : cliquer ‘ICI

THEME 1 => Connaître l’Abeille

Principales espèces d’abeilles

Principales races d’abeilles en Europe

Races d’abeilles hybrides

Anatomie

Physiologie

Activité métabolique

Nutrition

Langage des abeilles

Questions / Réponses

 

Et pour finir : By pierre DEHEN : comme promis, voici un résumé en PDF de mes démonstrations de jeudi à la MJC.

Vous pourrez ainsi les retrouvez à loisir. cliquer ‘ICI



Pensez à votre Assemblée Générale

A) TRÈS IMPORTANT :

En cas d’impossibilité d’assister à l’Assemblée Générale, merci de faire parvenir votre pouvoir par courrier à Alain LACRAZ Secrétaire.

Faites vite, car si la majorité n’est pas atteinte, nous seront obligés de refaire un A.G. !!!

Version imprimable : pouvoir

Date de l’Assemblée Générale :

Jeudi 13 DÉCEMBRE 2012 Salle de la Mairie à 20 H 30

avez-vous consulté L’ordre du jour ? cliquer ‘ICI

Version imprimable : convocation ag 2012

 

B) INFOS PRATIQUES : Tout ce que vous avez rêvé de savoir sur le traitement à l’acide oxalique sans jamais avoir osé le demander…

– l Les recommandations de Pierre TOMAS BOUIL;
– 2 La page des vétos,Les dossiers d’Apivet.eu Emploi de l’acide oxalique
– 3 Pour résumer,
– 4 Deux vidéos pour vous rappeler les gestes essentiels.

Allez vite voir votre page TRAVAUX MOIS/MOIS rubrique : Décembre

C) En avant première : Cours Théorique du Jeudi 31 Janvier 2013 by Pierre TOMAS BOUIL. pour le détail : cliquer ‘ICI

THEME 1 => Connaître l’Abeille

Principales espèces d’abeilles

Principales races d’abeilles en Europe

Races d’abeilles hybrides

Anatomie

Physiologie

Activité métabolique

Nutrition

Langage des abeilles

Questions / Réponses

 

D) Et pour finir : By pierre DEHEN : comme promis, voici un résumé en PDF de mes démonstrations de jeudi à la MJC.

Vous pourrez ainsi les retrouvez à loisir. cliquer ‘ICI