Dans le cadre de la Semaine Européenne de Réduction des Déchets, la mairie de Reignier-Esery accueillera une exposition du SIDEFAGE sur le tri et le recyclage des déchets.
13 panneaux explicatifs et illustrés seront installés à la mairie et à l’Espace du Foron.
Merci de faire circuler l’information à vos contacts et/ou à vos adhérents.
Par contre combien faut il prévoir de kilos par ruches en moyenne?
réponse:
normalement RIEN si vous avez bien suivi les conseils d’hivernage
donnés lors des réunions.
chaque ruche doit avoir été suffisamment nourrie en septembre, environ
15 Kg de sirop/ruche, mais:
-en octobre ou plus tard au mois de janvier, on s’aperçoit en soupesant
les ruches que certaines sont légères,
-les nucleis devant passer l’hiver n’auront pas assez de provisions,
-ou on a voulu faire des économies de bout de chandelles en économisant
le sirop…
Dans tous ces cas, il faudra nourrir les colonies concernées avec du
candi.
si c’est juste un rattrapage, une demie plaque suffira.
toutes les ruches n’ont probablement pas le meme besoin,
pour les nucleis, donner en plusieurs fois selon les besoins.
Pierre DEHEN
Pour des questions de logistique, en bon français de manutention, André a besoin de savoir les quantités de candi à distribuer à la réunion de fin novembre et lors de l’assemblée générale le 5 décembre.
A : La présentation de jeudi soir 31 Octobre était une information et non pas une formation si bien que je n’ai pas préparé de document à projeter pour préciser le discours et j’ai survolé les maladies.
Si des personnes sont intéressées par une synthèse elles peuvent consulter ces 2 documents : page COURS THEORIQUES DE PIERRE TOMAS BOUIL
H : Nous disposons d’un compteur et d’un outil de statistiques depuis Aout 2013… (onglet jaune ‘STATISTIQUES’ en haut et à droite).
Serez-vous le 10 000 ème ‘follower’ ? http://whos.amung.us/stats/ohjxwpxh357v/
L’exposition à des doses très faibles de certains pesticides – dits néonicotinoïdes – peut conduire les colonies d’insectes sociaux au déclin.
Les travaux conduits par John Bryden (Royal Holloway University of London, Royaume-Uni) et publiés dans l’édition de décembre de la revue Ecology Letters s’ajoutent à d’autres, menés ces dernières années, qui montrent que les effets de pesticides systémiques (utilisés en enrobage de semences ou en traitement des sols) peuvent se manifester de manière « sub-létale » : ils peuvent provoquer l’effondrement de colonies sans avoir d’effet mortel aigu sur chacun des insectes du groupe.