Boneco, un apiculteur pas comme les autres… Qu’en est-il du Bilan carbone ?
Cela peut peut-être remplacer les véhicules gourmands en énergie fossile ?
Merci à Christiane pour le lien.
Pour éviter à son âne de se faire piquer, cet apiculteur a conçu une combinaison très spéciale
Pour parvenir à augmenter sa récolte annuelle de miel, l’apiculteur brésilien Manuel Juraci a imaginé une solution étonnante en faisant appel un partenaire de travail pour le moins singulier. Pour l’aider à récolter la précieuse marchandise laissée par ses abeilles, Manuel Juraci se fait aider par Boneco, un âne pour qui l’apiculteur a même imaginé une tenue de protection adaptée.
Pour lui laisser la vue libre et lui permettre de respirer, une moustiquaire est montée sur des arceaux, de façon à ce qu’aucun dard ne vienne blesser le travailleur à grandes oreilles. Cet uniforme hors normes n’a pas manqué d’interpeler l’Association des producteurs de miel. Manuel Juraci espère donc compter des commandes de cet ordre à l’avenir, ce qui lui apportait un revenu supplémentaire. Si ce projet voit le jour, peut-être verrons-nous bientôt fleurir dans la Caatinga brésilienne d’autres « Boneco » aux côtés de leur collègue de travail humain.
Voici un texte intéressant faisant le portrait de François Huber est un naturaliste suisse, né le à Genève et mort le à Lausanne. Il est, avec Swammerdam, Réaumur et John Hunter, l’un des premiers observateurs scientifiques des abeilles.
Il commence à souffrir à quinze ans des premiers signes d’une maladie qui le rendra complètement aveugle… Spécialiste des abeilles sans pouvoir les voir …
Article issu du magazine scientifique de l’université de Genève N° 124 Mars 2016. (Reprise des articles autorisée avec mention de la source)
Je vous souhaite à toutes et à tous ainsi qu’à vos familles mes meilleurs voeux de santé et bonheur pour l’année à venir.
Que 2017 soit aussi plus propice à nos petites protégées.
Amicalement.
LA MJC DE ROMAGNY RUE DU 18 AOUT 44 VOUS INVITE A UNE CONFÉRENCE ‘ABEILLES EN VILLE’ VENDREDI 13 JANVIER à 19h30
La ville d’Annemasse s’est engagée à préserver les abeilles en signant un partenariat avec le rucher école «l’Abeille du Salève» pour installer des ruches dans les parcs publics. Cette démarche s’inscrit dans une volonté de sauvegarder la biodiversié. Lors de laconférence «Abeilles en ville», Pierre Tomas Bouil et André Favre vous présenteront la vie de la colonie au fil des saisons. La Société Centrale d’apiculture (SCA) et la ville de Paris ont voulu montrer que la disparition des colonies n’était pas une fatalité.
2017, nombre premier, en cette année particulière ils ne sont toujours pas chez nous et tant mieux.
Si l’abeille va tout va. C’est ce que je nous souhaite à tous.
Jacques
Cependant… à classer dans les films d’horreur… Photos de mon noël en Ariège, ça fait peur !
À toutes et tous mes meilleurs Vœux pour 2017. Que cette nouvelle Année soit constructive, riche d’échanges et de rencontres et que vos vœux les plus fous se réalisent.
Que nos abeilles nous excuses nos faiblesses et gardent la santé!
Bonne Année 2017
France Gave Présidente du GDSA
(Photos prises ce jour à 1500 m Plateau de Trè le Saix avec en fond Roc d’Enfer, Cornettes de Bise et Dent D’Oche)
Bonjour
Voici un article du D L sur les cultures dérobées.
Meilleurs Vœux pour 2017 .Santé et réussite pour la saison apicole avenir.
Salutations
Décarroux René
Les multiples bienfaits des cultures dérobées polliniques
Dauphiné Libéré du MARDI 3 JANVIER 2017
L’initiative a démarré en 2011 entre le GAPS (groupement des apiculteurs professionnels des Savoie) et les groupements d’agriculteurs des territoires des deux départements savoyards ainsi que la chambre d’agriculture Savoie Mont Blanc.
La plantation de cultures dé robées polliniques sur nos deux départements.
Il apparaît particulièrement intéressant de comprendre l’utilisation d’un tel procédé et de ses multiples bienfaits. La suite : cliquer sur l’article pour l’agrandir…
Bonjour René,
Très intéressant.
Il y a aussi maintenant des agriculteurs qui ont supprimé le labour et qui plantent des inter-cultures pour nourrir les verres de terres qui s’occupent du labour (sans gasoil et 24h/24h). Cette technique (semis direct sous couvert végétal) permet le stockage de carbone (environ 1.5 tonnes à l’hectare vs 0.8 tonnes/ha de pertes quand on laboure).
Une petite vidéo explicative :
+ le témoignage d’un agriculteur qui a des ruches sur ses cultures :
Yves
Bonjour à toutes et à tous!
Je me permet d’ores et déjà de vous souhaiter une bonne année apicole, l’année 2016 s’étant tristement achevée pour un ami apiculteur…
Ce petit message pour vous appeler à la plus grande vigilance quant à vos ruchers, cet ami s’étant fait dérober l’ensemble de son rucher ( 9 ruches pleines) courant du mois de décembre…
Son rucher était situé dans le Salève, coté Cruseilles, dans les bois, et malheureusement à l’abri de la plupart des regards…
Le vol à été signalé à la gendarmerie…
Si par hasard vous auriez des informations sur un rucher environnant, qui bénéficiant de la bonté du père noël aurait vu son rucher agrémenté de neufs belles ruches par magie… (g.correas@hotmail.fr)
Malgré tout je vous re souhaite une belle année apicole 2017 avec un temps en la faveur de nos abeilles et une belle production!